Lucienne Marchal van Jacques Boonstraat 3
Mevr. Lucienne Marchal woonde in dit huisje op Jacques Boonstraat 3 in Het Rad (Anderlecht) van 22. december 1924 tot dat zij stierf op 4. december 2000.
Hierbij enkele interessante feiten over de geschiedenis van het huis, en enkele foto's van Mevr. Marchal.
Eigendom#
Een woonhuis met aanhorigheden, op en met grond, gelegen Jacques Boonstraat 3, gekadastreerd volgens titel wijk D, deel van nummer 133, groot in oppervlakte volgens titel twee aren vier centiaren vijfentwintig tienmilliaren, thans gekadastreerd wijk D, nummer 133/Z/5 voor een oppervlakte van twee aren vier centiaren (2a 4ca). Kadastraal inkomen: drieëntwintigduizend achthonderd frank (23.800,-).
Oorsprong#
Oorspronkelijk behoorde het goed toe aan de heer Camille Joseph Ghislain MARCHAL, machinist en zijn echtgenote Mevrouw Flore Leonie Ghislaine CHABOTEAU, zonder beroep, te Anderlecht om het aangekocht te hebben van de ^naamloze vennootschap "Anderlechtste Haard", te Anderlecht, ingevolge akte verleden voor Notaris Charles Gerard, destijds te Anderlecht, op 22 december 1924, overgeschreven op het vierde hypotheekkantoor te Brussel, op 3 januari nadien, boek 1183, nummer 8.
De echtgenoten Camille MARCHAL-CHABOTEAU Flore, beiden voornoemd, zijn respectievelijk overleden, hij op 23 januari 1952 en zij te Anderelcht op 30 januari 1981, nalatend als enige wettige en reservataire erfgename hun enige dochter Mejuffrouw Lucienne Augustin Ghislaine MARCHAL, gepensioneerde, te Anderlecht.
Mejuffrouw Lucienne MARCHAL, voornoemd, is overleden te Anderlecht op 4 december 2000.
Bijzondere voorwaarden#
De eigendomstitel van hogervermeld goed uit hoofde van de echtgenoten MARCHAL-CHABOTEAU, voornoemd, zijnde de akte verleden voor Notaris Charles Gérard, destijds te Anderlecht, op tweeëntwintig december negentienhonderd vierentwintig, bepaalt hetgeen volgt :
"IX- Les acquéreurs ne pourront, sans l'assentiment écrit de La Société venderesse, modifier les constructions et ses dépendances ou (a partie du jardin qui sépare la construction de la voie publique, élever des constructions et dépendances quelconques sur le terrain vendu, modifier de quelque manière que ce soit l'aspect actuel des façades antérieures, postérieures et latérales.
Ils devront respecter les servitudes établies à charge du bien vendu, notamment celles qui concernent les conduites d'eau, de gaz, égouts, cheminées, écoulement des eaux de surface et de toitures, l'évacuation du trop plein des citernes, les vues, téléphones, télégraphes, fils électriques et autres services semblables. Ils devront se conformer aux prescriptions réglementant l'exploitation de ces divers services à leurs frais, risques et périls, et sans intervention de la Société venderesse. Les parties à usage commun de ces branchements et ouvrages devront être entretenues à frais communs, sauf le recours des intéressés contre l'un ou plusieurs d'entre eux dont la faute serait établie.
Les acquéreurs devront entretenir convenablement les plantations existantes (arbres, plantes grimpantes et autres). Celles qui viendraient à périr ou seraient détruites par quelque cause que ce soit, devront être immédiatement remplacées par des espèces identiques et à leurs frais exclusifs.
Les acquéreurs devront tailler régulièrement les haies qui entourent le bien vendu. Il leur est interdit de les remplacer ou de clôturer leur bien par des murs ou clôtures d'une autre espèce. La hauteur des haies sera de quatre-vingts centimètres maximum.
X. Toutes les stipulations du précédent article constituent des servitudes passives à charge du bien vendu et des servitudes actives au profit de tous les autres biens ayant appartenu ou appartenant à la Société venderesse et situés dans la cité-jardin de la Roue, délimitée par la chaussée de Mons, l'avenue Wax Weiler, les rues des Loups, des Colombophiles, des Grives et le Chemin de fer Bruxelles-Midi à Gand Saint Pierre.
XI. Si des travaux nouveaux de pavage, trottoir, canalisation étaient jugés nécessaires par la Société venderesse, les acquéreurs s'engagent à supporter une part du coût de ces travaux calculée en proportion de l'étendue de la façade du bien vendu par rapport à l'ensemble des biens desservis par le travail nouveau. Les différends qui pourraient s'élever à ce sujet et d'une manière générale au sujet de l'application des prescriptions de l'Arrêté R.oyal du douze février mil neuf cent vingt-quatre, seront tranchés par la Société Nationale des Habitations et Logements à Bon marché et en dernier ressort par le Ministère de l'Industrie et du Travail."
Tomáš & Elke woonden hier samen tussen Saturday, June 23, 2001 en Thursday, June 30, 2005.
DUTCH ARTICLEOCTOBER 20, 2018 AT 01:46:40 UTC